Quoi ? Décembre ? Déjà ? Eh oui … La fin d'année est là … Dehors il fait tout gris, la déprime saisonnière pointe le bout de son nez et notre seule motivation : rester au chaud sous la couette devant Netflix.

Allez, on se lève et on finit l’année en beauté, mais surtout de bonne humeur ! Et pour ça, rien de mieux que le livre d’Agnès Abécassis, Assortiment de friandises pour l’esprit, ou l’art de positiver au quotidien. Encore une gourou du bien-être de la pensée positive ? Pas du tout ! Et vous allez voir pourquoi …

Pensez fort à ce qui vous met de bonne humeur. Allez un petit effort ! C’est bon vous y êtes ? Vous voyez, ça marche déjà …

Qui dit froid, dit fin d’année (ah bon ?). Bref, le moment des nouvelles (ou recyclées) résolutions. On fait un point sur l’année qui vient de s’achever, et on se tourne vers celle qui arrive. Et celle qui arrive est pleine de surprises, il n’y a qu’à regarder le calendrier des journées mondiales !

- 1^er janvier : Journée mondiale de la paix. Parce que commencer l’année en faisant la guerre, c’est franchement pas terrible, hein ?

- 21 janvier : Journée internationale des câlins. Pour plus, si affinité, se référer au dico des « embrasse-moi » en toutes les langues ci-dessous.

- 8 mars : Journée internationale de la femme. Les féministes je vous vois venir. Alors avant que vous la rameniez, cette journée est surtout faite pour sensibiliser aux inégalités des droits des femmes à travers le monde.

- 11 mars : Journée mondiale de la plomberie. Ok…

- 4 mai : Après la journée mondiale de la paix et du câlin celle du bonheur. L’année 2017 est placée sous le signe des bisounours.

- 4 mai : Journée mondiale de Star Wars. Why not. Un clin d’œil à la phrase « may the force be with you » qui donne « may the 4th be with you » Et re-ok !

- 6 mai : Journée internationale sans régime. Pour moi, c’est toute l’année le 6 mai !

- 13 août : Journée internationale des gauchers. Je peux conduire à gauche et doubler par la droite ?

- 13 novembre : Journée mondiale de la gentillesse. Je note « journée durant laquelle j’ai le droit d’être une vraie crapule »

- 19 novembre : Journée internationale des toilettes. Si, si, ça existe !

- 21 décembre : la Journée mondiale de l’orgasme, certainement la plus importante !

Embrassons-nous sous du gui en cette fin d’année. Ne dit-on pas que « le baisser est la plus sûre des façons de se taire en disant tout » ? Alors disons-le en toutes les langues, histoire de bien se faire comprendre …

- En vietnamien : Hôn em di ! (Embrasse –moi directement, c’est moins compliqué à faire qu’à dire !)

- En anglais : Kiss me ! (Et le « French kiss », tu connais ?)

- En espagnol : Dame un beso ! Ohlé

- En suédois : Kyss mig ! Ok, faut pas me le demander deux fois …

- En italien : Baciami …

- En japonais : Kisu shite ! (Shit ?)

- En finnois : Suutele minua !

- En hébreu : Tenacheck oti ! Ouais je me la pète, je sais le dire en hébreu …

- En grec : Fila me ! C’est Aristote qui me l’a appris.

- En portugais : Beija-me ! Nem era preciso perguntar … (Reverso est ton meilleur ami !)

Si on nous embrasse, c’est parce qu’on nous aime, non ? Bien. Alors petit exercice pratique : demandez à vos proches ce qu’ils aiment chez vous (intellectuellement, émotionnellement, amoureusement et pourquoi pas physiquement).
N’oubliez pas de tout noter sur un bout de papier que vous relirez en cas de coup de blouse ! 

En parlant d’amour … Voici une recette pour les couples amoureux. De longues années d’amour garanties ! (À bon entendeur !)

- On presse une dose de phényléthylamine (amphétamine naturelle de l’amour)

- On y ajoute l’hormone de l’attirance : la vasopressine

- Quelques pincées de dopamine

- Sans oublier d’y mettre de l’ocytocine, l’hormone de l’attachement

- On complète le tout avec un soupçon de lulibérine (pour la béatitude)

- Des glaçons d’endorphine pour rafraichir le tout

- Et enfin, une rondelle de testostérone, pour le désir sexuel

Il ne vous reste plus qu’à trinquer !

(Cette petite recette, refaite à ma sauce, je l'ai piquée à Agnès Abécassis)

Et pour les célibataires, n’oubliez pas que Sacha Guitry a dit : « le célibat ? On s’ennuie. Le mariage : On a des ennuis ». Ah quel homme ce Sacha ! Le célibat, c'est le pied il parait. Pourquoi ? 

-On a le lit pour nous toute seule. Pas de ronflement et de coups de pied. Mais surtout, la couette est que pour NOUS !

-Pas de belle-famille reloue. Oh le bonheur !

-Des soirées entre copines à gogo !

-On oublie les compromis. La chef c’est nous.

-On mange ce que l’on veut. On chante quand on veut. On sort où on veut !

-Et puis Bradley cooper, Adam Levine et Griezmann sont déjà pris. 

Pour la fin d’année vous avez dit chocolat  ? François de La Rochefoucauld vous répond : « Aimez le chocolat à fond, sans complexe ni fausse honte, car rappelez-vous : sans un grain de folie, il n’est point d’homme raisonnable. » Tant pis pour la crise de foie ! Ça, c’était juste pour qu'on évite de culpabiliser après les excès.

Sur ces bonnes paroles, je vous souhaite une bonne fin d’année, et oui déjà… Prenez une coupe d’optimisme en apéro, une grande dose de bonne humeur pour le plat, et une énorme part de motivation en dessert. Ajoutez-y beaucoup de folies et promis vous rallumerez toutes les étoiles du ciel ! (Que c'est cul-cul)

Allez, salut !

S'il y a bien une chose que je déteste, c'est ça : me démaquiller. J'adore me pomponner le matin, c'est un fait. Et je donne tout : anti-cernes, bronzer, blush, poudre, ombre à paupière, mascara, crayon à sourcils... Mais quand vient le moment de tout enlever, j'ai comme une envie de partir en courant, de fuir au fin fond de l'Amazonie pour vivre une vie où mes smokey seraient faits de boue et où tout s'effacerait d'un seul jet d'eau. Mais non, la vérité c'est que : lingettes démaquillantes, cotons, laits, lotions et huiles sont mon quotidien pour retirer -tant bien que mal- toutes les traces de poudre et de mascara sur mon visage. 

Autant dire qu'avec mes yeux et ma peau sensible, ça n'a jamais été une partie de plaisir. Plus encore lorsque j'utilisais des mascaras waterproofs. Mais, jusqu'ici, je n'avais jamais rien trouvé qui puisse être rapide, économique et inoffensif pour ma peau. 

Seulement, un grand jour est arrivé : LA RÉVOLUTION. Au détour d'un petit passage chez Sephora, mon oeil a accroché cette petite boite gentiment posée, à l'aspect de gomme, d'un rose fifille tellement joli que même Morticia aurait été attirée. Cette même boîte contenait le Ô saint Graal, tout droit venu de San Francisco : Le Makeup Eraser. 

CE QU'EN DIT LA MARQUE : 

Sur le site de Sephora on dit que : "Cette serviette permet d'éliminer votre maquillage avec de l'eau. Cela inclut entre autre l'eyeliner et le mascara waterproof. Le plus... cette serviette est réutilisable car vous pouvez la passer en machine. La serviette est en tissu rose avec une bordure de satin qui est moelleuse et douce au toucher. Comment l'utiliser ?Il suffit de mouiller le tissu et enlever votre maquillage".

EST-CE QUE ÇA MARCHE ?

Comme ça, elle ne paye pas de mine. On croirait qu'il s'agit d'une lingette microfibre pour retirer la poussière de ses étagères. En réalité, il s'agit d'une "serviette démaquillante" censée éliminer toute trace de maquillage "uniquement avec de l'eau". En plus d'être mignonne, elle en promet des choses. Lorsque j'étais prête à tenter l'expérience le premier soir de mon achat, j'avoue ne pas avoir placé beaucoup d'espoirs en la chose. Et pourtant, une fois que j'ai suivi les instructions...

Quand je réalise qu'une serviette rose m'a mieux démaquillée qu'un coup de Kärcher

Plus une trace de maquillage, rien, nada, niente, nothing même pas la rituelle petite trace de mascara au ras des cils. J'ai dû rester quelques minutes devant mon miroir, à croire à une blague et à finir par traiter mes cotons et mon lait démaquillant d'incapables. Le Makeup Eraser avait tout retiré, jusqu'à la dernière once de mascara super-waterproof-de-la-mort, avec lequel je me bat d'habitude. En quelques secondes, après l'avoir mouillée et avoir "effectué des mouvements circulaires sur mon visage", la serviette avait tout retiré. Magie-magie. 

En plus d'être une serial-killeuse de makeup, la serviette est douce et agréable. Elle n'irrite pas car est composée à 100 % de polyester. Un côté est duveteux, parfait pour démaquiller. De l'autre, les poils sont légèrement plus courts pour exfolier le visage en douceur. Comme cité précédemment, elle est réutilisable 1 000 fois ! Si vous vous démaquillez tous les jours, elle peut durer jusqu'à 3 ans. 

OÙ LA TROUVER ?

Chez Sephora, au prix de 19,90 €. Disponible en cliquant juste ici : 

w/ love,

WWW.THISCHARLIE.COM

Après avoir enchainé traitements, crèmes et compléments alimentaires contre une acné qui avait marqué son territoire sur MON visage, mon dermatologue a prononcé le mot magique : Procuta (un dérivé de Roaccutane). J’ai donc débuté ma cure à 15 ans. Je vous entends déjà : « Mais c’est pas le truc hyper dangereux qui rend dépressif ? » Non ! En tout cas, pas dans mon cas, puisque tout c’est plutôt bien passé. Oui plutôt… 

Ce remède miracle se présente sous la forme d’une petite capsule. Elle contient de l’isotrétinoïne, un dérivé de la vitamine A. En bref, Procuta est prescrit pour traiter l’acné sévère, susceptible d’entrainer des cicatrices définitives sur votre joli minois et/ou sur le dos. Le suivi médical est très important. Seul votre médecin ou dermatologue peut vous prescrire ce traitement qui se prend sur plusieurs mois. Impossible de le trouver en vente libre ou de le prendre seul. Je vous mets au défi de débarquer dans une pharmacie et demander Procuta sans ordonnance. Même avec une arme à la main la pharmacienne vous le refusera et vous demandera où est votre petit carnet (tout bon Procurien a sa fiche de suivi de traitement!) signé et tamponné par votre médecin. 

Alors oui, la liste des effets secondaires est longue comme le bras. Et elle peut faire peur ! C’est pour ça que je ne l’ai lue qu’une fois mon traitement terminé. Inconsciente me direz-vous. Mais heureusement ! Quand en dépliant la notice, mes yeux sont tombés sur : « effets secondaires graves. Effets psychiatriques », comment vous dire… J’ai eu peur, mais c’était déjà fini. 

☼ On commence par la prise de sang mensuelle. Pour surveiller l’état de mon petit foie qui s’est bien endommagé avec l’isotrétinoïne. Donc exit l’alcool. Une prise de sang pour vérifier que je n’étais pas tombée enceinte durant ces quelques mois. Pourquoi ? Parce que c'est une contre-indication ! 

☼ On continue par la perte ou la prise de poids. Forcément, la chanceuse que je suis, a pris du poids. Pas énormément, mais suffisamment pour avoir un visage tout rond sur ses photos de voyages scolaires. Suffisamment pour avoir pris des hanches. Des cuisses. Du ventre. Et c’est déjà beaucoup. Bonjour la salle de sport.

☼ Chaque mois mon médecin augmentait la dose de Procuta. D’une capsule de 5mg au début, je me suis progressivement retrouvée à 50mg. Ce qui m’a terriblement asséché la peau. L’hydrater était devenue une obsession. Mes lèvres en ont pris un sacré coup. Gercées, coupées… On oublie le rouge à lèvres et on devient accro aux crèmes nourrissantes (petit placement de produit : le baume Uriage, c’est une tuerie). 

☼ Mes cheveux ? C’est simples, ils étaient secs, eux aussi. Je pouvais ne pas les laver pendant une semaine (oui, c’est dégueux), jamais ils ne graissaient. Durant ces quelques mois, lisseur et sèche cheveux ont été remplacés par des masques et des soins nourrissant.

☼ Anémie, nausée, yeux rouges, tachycardie, tendinite, risque de dépression, pensées morbides... Font aussi partie des effets secondaires mais justement ce sont les moins fréquents !

Dans 85 % des cas une cure suffit, ce qui n'a pas été le mien. Après quelques années à exhiber ma jolie peau, les boutons ont fait leur grand retour. J’ai donc dû repasser par la case Procuta au mois d’octobre 2015. Avec beaucoup d'appréhension. Je me voyais mettre ma vie entre parenthèse. Mais cette fois-ci, j'ai fait les choses différemment. J’ai couplé mon traitement avec des compléments alimentaires pour les cheveux et je me suis mise au sport. Au final, les effets secondaires ont été presque inexistants. A part la peau et les cheveux secs, je n'ai rien eu. Et au bout de six mois, j’ai retrouvé une belle peau (oui oui, on me l'a dit).

Allez, à plus !

En général, les jours fériés, deux options s’offrent à vous : bringuer comme un(e) dingue pour fêter la fin de semaine, ou passer vos journées à chiller en pyjama le plus loin possible de la salle de bain. Dans les deux cas, après ça, c’est pas jojo. Et comme demain, c’est la reprise, un ravalement intégral de façade s’impose pour être fraiche et dispose (la rime, c’est pour moi c’est cadeau).

Commencer la semaine avec les cheveux sales c’est no way. Lavez-moi tout ça et faites le bien ! Pour les crinières les plus indomptables, brossez vos cheveux avant de les laver. Ça vous évitera pas mal de sacs de noeuds par la suite. 

Étant donné que je suis blonde foncée avec un balayage plus clair, j’ai choisi d’utiliser le shampooing Klorane à la camomille, qui fait vraiment ressortir les nuances de blond. J’ai l’habitude de faire deux shampoings : un premier léger, et un deuxième plus en profondeur.

Profitez de cette étape pour vous masser le cuir chevelu. C’est très agréable et en plus, cela active les follicules qui font que vos cheveux pousseront un peu plus vite (merci Charlie pour ce conseil !) Partez du bas de la nuque pour remonter sur vos tempes en faisant de petits mouvements circulaires pendant quelques minutes. 

Une fois les shampooings terminés, ne swtichez surtout pas l’étape de l’après shampooing ! Il est indispensable pour nourrir vos cheveux, histoire de ne pas avoir une botte de paille sur la tête. Et un cheveu nourri est beaucoup plus docile … J’utilise là aussi l’après-shampooing à la camomille de Klorane, et je le laisse poser environ trois minutes. 

Avant de passer au séchage, j’ai ajouté à mon rituel une nouvelle petite étape : le vinaigre de rinçage. J’ai choisi de continuer dans la même gamme Klorane pour cheveux blonds, et c’est un réel plus, qui apporte une brillance incomparable. Une fois l’après-shampooing rincé, je verse un demi-litre de vinaigre dilué sur mes cheveux avant de les essorer puis de les sécher. 

Crinière souple, douce et brillante assurée ! 

Le lundi matin, pas question d’avoir grise mine. Pollution, fatigue, petits excès … on détoxifie tout ça pour avoir le plus frais et rayonnant des minois. 

Pour ça, on commence par bien nettoyer sa peau. J’utilise une éponge de konjac matin et soir. C’est 100% naturel, en fibres végétales, et c’est un peu comme un exfoliant quotidien et très doux. En plus, il en existe pour tous les types de peau. Moi j’ai choisi celle au charbon de bambou, pour les peaux grasses à tendance acnéique. Dès la première utilisation, je vous garantis que vous serez conquis(es) par l’éclat et la douceur qu’elle donnera à votre peau, en plus de resserrer les pores et d’éliminer les imperfections. Vous ne pourrez plus vous en passer ! 

Une fois le visage nettoyé, il est temps d’éliminer les impuretés. J’utilise pour ça le gommage Marilou bio à l’huile d’argan. Pas du tout agressif, avec des grains très fins, il n’attaque pas du tout la peau et la laisse parfaitement hydratée. 

Avant-dernière étape : le masque ! Je fais dans la simplicité et opte généralement pour celui à l’argile verte et à la menthe de Cattier. Je le laisse poser dix minutes en humidifiant régulièrement pour ne pas abimer ma peau. Il a vraiment un rôle sébo-régulateur, mais un peu asséchant. 

C’est pourquoi l’étape hydratation est indispensable. J’ai eu dans ma dernière Birchbox un échantillon de la crème squalane oxygen regenerating d’Essonce, et je ne sais pas comment je vais faire pour m’en passer. Elle a tout ! Elle hydrate à fond sans laisser de film gras, la peau est rebondie, douce et éclatante. Les pores sont resserrés, les imperfections estompées. C’est vraiment mon coup de coeur ! 

On n'en est pas encore à montrer jambes et bras à tout bout de champ, mais quand même ! En plus, ça ne saurait tarder. Alors même sous toutes ces couches et ces épaisseurs, n’oubliez pas votre peau.

Gommez la aussi sous la douche. Bye bye les peaux mortes qui vous font ressembler à un serpent en pleine mue ! Et pour ça, le gommage intense de Linéance tient ses promesses : « effet peau neuve minute ». Au sortir de la douche, la peau est tellement douce ! Merci la poudre de noyaux d’abricots. 

Là encore on n’oublie pas l’hydratation post gommage. Je suis complètement accro à la gamme au lait d’avoine d’Yves Rocher. L’odeur est tellement enivrante, elle rappelle un peu celle des produits pour bébé. La crème laisse un voile de douceur subtilement parfumé qui laisse une peau toute douce ! 

Voilà, vous venez de passer deux bonnes heures dans la salle de bain à vous chouchouter. Vous êtes toute belle, toute fraiche et requinquée pour entamer une nouvelle semaine. Après tout ça, le lundi semble un peu moins terrifiant, maintenant que vous êtes radieuse pour l’affronter ! 

Et vous, qu’elle est votre routine beauté ? 

Amour & Tendresse, 

« Tu as changé quelque chose ? » : c’était LA question de la semaine. Alors oui j’ai changé quelque chose : j’ai arrêté de me maquiller. (Oui j’ai osé). Et vous savez le pire ? Ça s'est bien passé. Le monde n’a pas arrêté de tourner, et les gens ont même continué à me regarder. (Si, si je vous jure). 

Je ne suis pas en train de faire une grève contre le makeup, parce que ça tue notre peau et des baleines. (Quoique, si, en fait). Cette folle idée m’est venue un matin, alors que j’avais le choix entre me pomponner ou dormir. C’est à ce moment précis que j’ai eu des flash-backs :

• ☼ Mon père qui me dit « Mais arrête de mettre tout ce noir sur les yeux, tu es plus jolie au naturel » (tout ce noir c’est juste du mascara, hein papa !). 
• ☼ Et mon copain qui renchérit « pourquoi tu te maquilles ? Tu es très bien comme ça ». 

Moment de faiblesse, j’ai préféré boire ces douces paroles et dormir dix minutes de plus. Mais au réveil je me suis rappelé que tous ces mots saupoudrés de miel et de sucre étaient aveuglés par l’amour. Et que le monde extérieur ne le verrait pas du même oeil. 

FAUX ! 

Au premier « tu as changé quelque chose non ? » Je me suis un peu braquée, genre OUI JE NE ME SUIS PAS MAQUILLEE, ET ALORS ?! À lui de répondre gentiment « Je n’ai pas dit que ce n’était pas bien, juste que quelque chose avait changé ». Et à moi d’esquisser un sourire, un peu gêné de mettre emportée. Et aussi un peu contente de cette réponse.

Les gens ont remarqué le changement, certes. Mais jusque-là personne ne s’est enfui en me regardant. J’ai même une copine qui m’a lancé un joyeux (et sincère, je l’espère) : « moi je te préfère comme ça ». À la bonne heure ! J’ai donc décidé de continuer ce nouveau combat. Tout simplement parce que je me suis rendu compte d’une chose, au bout de ces premières 24 heures : s’assumer comme on est, sans aucun filtre, ça fait du bien. 

Je  ne suis pas la fille la plus à l’aise avec son corps. Et, avouons - le les filles, le maquillage ça nous rassure, ça nous cache aussi, ça nous reboost un peu les mauvais jours. Déjà, c’est sympa de se maquiller, c’est un peu comme jouer à la poupée avec des super produits dont on est fan ! Et quand on a fini on se dit fièrement « Et voilà le travail ! Je suis plutôt pas mal... ». 

La plupart d’entre nous n’ose pas se montrer sans ce fameux kit de survie. Je veux dire, au moins du mascara quoi ! 

D’ailleurs j’avoue, j’ai gardé le fond de teint, juste le fond de teint. Je suis engagée, mais faut pas abuser. Alors, oui des fois je me suis dit « Mais non, tu ne peux pas sortir comme ça. Tu as vu la tête que tu as ? ». Surtout qu’en milieu de semaine j’ai commencé à être malade et fatiguée. Et sans un peu de blush et de mascara, ça se voit tout de suite plus vite. Mais tant pis, je suis restée forte. Et j’ai bien fait. Il ne m’est rien arrivé. En plus, je pouvais me frotter les yeux quand je voulais : le kiff. 

Essayez, vous me direz comment ça s'est passé pour vous !

Mes Southiiiies ! Les repas d'une étudiante fauchée reviennent pour votre plus grand plaisir. Et celui de votre estomac...  Aujourd'hui, nouvelle recette rapide et délicieuse, toujours garantie sans junk food pour moins de 4€

Omelette archi complète 

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Battre des oeufs, tout le monde en est capable si, je vous le jure ! Mais bon, des oeufs battus seuls dans une poêle, c'est un peu nul ...
Et omelette au fromage, au jambon et compagnie, la barbe ! Non, moi, aujourd'hui, je vous propose une omelette funky, vite prête, et qui vous laissera repu(e) comme si vous sortiez d'un repas de réveillon !

Pour cette recette, vous aurez besoin de : 

* 3 oeufs

* 1 petit oignon

* 1 champignons de Paris

* Sauce soja (facultatif)

* 1 pomme de terre ou des pommes rissolées

Étape 1 : Emincez l'oignon et le champions puis faites-les revenir dans un peu d'huile d'olive.

Étape 2 : Déglacez la préparation avec une cuillère à soupe de sauce soja et réserver. Déglacer = mettre dans la poêle, laissez faire psssscht et mélanger ;)

Étape 3 : Remettez un peu d'huile d'olive dans la même poêle et faire revenir la pomme de terre coupée en rondelles (pas trop fines) ou les pommes rissolées.

Étape 4 : Pendant ce temps, battez les oeufs dans un bol et coupez avec un peu d'eau ou de lait. Salez, poivrez, et ajoutez les épices que vous voulez/avez ! Moi je mets souvent de la muscade et/ou du gingembre. 

Étape 5 : Quand les pommes de terres sont bien dorées, rajoutez la préparation oignons/champignons dans la poêle. 

Étape 6 : Répartir les oeufs sur le tout et laissez les cuire un moment avant de retourner l'omelette.

Conseil d'amie : et si vous ne savez pas retourner une omelette, brouiller les oeufs dans la poêle ça marche aussi hein ;)

Alors, c'était bon hein ? 

Amour & Tendresse